Eddie Summers
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 31/01/2016
| Sujet: eddie × a thousand summers Dim 31 Jan - 22:43 | |
| Qui êtes-vous?
Âge : Vingt-six ans Groupe : Labor Umbra Avatar : Awesome/Batman ♥ Cinq adjectifs définissant votre personnage : Valeureux ; Séducteur ; Fier ; Vorace ; Conquérant
Histoire et caractère: Je dis pas que je suis beau à faire suer un inuit, mais la façon dont elle mord un sourire appréciateur quand j’ouvre la porte ressemble de près à un compliment pour mon faciès. « Bonsoir, Eddie Bear. » Sa voix rayonnante contraste avec l’intense froideur des yeux qu’elle promène sur moi. Elle a les mains pleines et l’air surexcité. Ça promet. « J'ai une pizza que t'aimeras pas et de cette bière que tu détestes. » elle annonce sans remord. Ça ferait beaucoup à encaisser à trois heures du mat’, si elle portait pas le même haut que j’ai un jour du récupérer avec un balai sur une des hélices de mon plafonnier. Ouais, un bon souvenir. Elle m'a habitué à mieux. « C'est nouveau, les goûts de chiotte, ou c'est un genre que tu te donnes ? » L’arc de mon sourcil la calme, ses bras retombent. Ma peau hurle comme chauffée par un tatouage quand je cale mon épaule contre la porte. « T'as jamais l'air aussi vieux que quand tu ponds des merdes comme "goûts de chiotte", tu sais ? » Alors ça va être ce genre de soirée. Sans victoire, sans perdant, mais baisée par une lutte constante dans le chahut brûlant de nos jambes. Portée par les cris étouffés de ses lèvres sous ma bouche et ses ongles sur ma chair à vif, rougie par un soleil plus clément que ses intentions à elle. Eddie Bear ne crache pas sur ce genre de miel. « T'es venue pour une raison ou tu cherches la bagarre ? » Lia pouffe comme si elle avait pour habitude de pouffer et à ce point je saurais pas dire si elle a bu ou si c’est moi qui lui fait cet effet. « Non mais tu t'entends ou pas ? C'est quoi la prochaine étape, "saperlipopette" ? » Elle m’a imité avec une voix grave et hachurée d’un accent raciste qui me noue les tripes. Je dis pas qu’elle m’excite, mais mon corps commence à pointer dans sa direction. « La bagarre, alors. » Et ses genoux chancelants contre mon pieu tandis qu’elle se pose tout un tas de questions. « En quelque sorte. » Je montre l’horreur qu’elle a dans la main gauche. C’est pas de la bière, c’est de la flotte. « Tu peux repartir si tu comptes sur moi pour m'enfiler cette saleté. » Elle baisse les yeux, les garde couchés sur mon bassin et ne les relève qu’à la toute fin. « En fait j'espérais plutôt que tu pourrais m'enfiler, moi. » Mon corps bascule. « Bienvenue. » Mon regard se promène sur elle quand elle me frôle en sentant l’odeur d’un autre homme, que j’imagine venir de cette veste trop grande. Je récupère ses offrandes au passage pour libérer ses mains chargées. Au fait. « Comment t’as frappé ? » Elle s’enfonce dans la pièce, se débarrasse de ses chaussures sans les toucher. « J'me suis servie de ma grosse bite. » Mon rire incrédule éclate dans la nuit. « Wow. C’est phallique. » Et aussi peu apêtissant que la pizza que je pose sur le comptoir. Mon pied referme la porte derrière nous et Lia l’entendant claquer se retourne. Elle enlève sa veste. Son jean. Attrape le mien pour m’attirer à elle. « Tu dis ça juste pour avoir l'air intelligent. » Elle m’embrasse une fois, je me laisse faire. Je souris. « Je sais. » Quelques-uns de ses doigts sur ma ceinture. « Tu devrais essayer. » Et c’est reparti pour un tour.
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Je dis pas que je suis nostalgique mais l’entendre vider mon ballon d’eau chaude sous la douche me rappelle le jour où elle m’a rencontré. Je médite, en sueur et immobile sur le lit défait, mes jambes qui pendent dans le vide et un souvenir qui tire sur le coin de mes lèvres. J’ai compris assez vite que son rituel amoureux est constitué à quatre-vingt pour cent de combat, une lutte à l’appétit aussi vorace que le diable qui me bouffe le ventre et en réclame toujours d’avantage. Quand je l’ai retrouvée dans l’eau pour la sortir de là, elle s’est débattue. Qui se noie et envoie le sauveteur se faire foutre ? « Du calme poupée, je suis là pour t’aider. » j’implorais en m’efforçant de ne pas rire pendant qu’elle me repoussait. « J’ai même pas eu le temps de boire la tasse ! » Elle aboyait, ses yeux féroces braqués sur mon torse. « Et c’est une mauvaise chose, parce que … ? » Mon bras libre trouvait sa taille pour l’empêcher de couler. Elle était plus occupée à gesticuler que se maintenir à la surface. « J’avais un plan : d’abord la crampe et après la noyade. T’aurais dû me porter jusqu’à la plage et puis… tu connais ton métier, merde. » Je craquais un sourire. « Trop bien, il faut croire. Quand je peux, j’interviens entre la crampe et la noyade. Et il se trouve que je te surveillais de près. » Elle se calmait, attendrie sous mon bras soutenant tout son poids. J’essayais de compter ses piercings, une urgence partagée dans le regard. « Bon. » Elle passait son bras sur mes épaules. « Alors ça va. » De retour sur le sable, je déposais son corps et m’agenouillais à côté d’elle. J’ai chevauché des juments moins sauvages. je pensais, quand elle feignait l’inconscience. Autour, la curiosité accumulait des corps nous faisant de l’ombre. Alors je couchais mon visage contre son torse, écoutant battre son cœur farouche. ‘‘Poum poum, poum poum.’’ Je souriais en découvrant un piercing intéressant de mon pouce. Et puis calais une main sous son menton et la seconde sur l’arrête de son nez. Je cachais ses lèvres des miennes et me délectais de son goût salé sous ma langue. Elle soupirait, frustrée de recueillir le baiser sans pouvoir me le rendre. J’en profitais pour la mordre un instant, excuser l’affront d’une caresse et tout recommencer. Ma main rivée sur son cou la maintenait en place, proie facile de ma brutale tendresse. Et je retrouvais son torse, mon oreille contre son cœur entendait jurer ‘‘Poumpoum! Poumpoum! Poumpoum!’’ avec force.
Je crois qu’elle arrive. Mes pensées s’emmêlent. « Comment tu t’appelles ? » je demandais une fois la foule dispersée. Elle chante en ouvrant la porte. « Amélia. » Elle lançait comme un ordre dans mon ombre. « Un beau prénom. » Je me sens m’endormir. Je la remettais sur pieds. « J’ai hâte de le gémir. »
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Vous
Prénom ou pseudos : Suuuper Ju ! :super : Âge : Le même que ce perso =O Comment avez-vous connu le forum ? : Il est super connu, dans mon terrier. Présence sur le fo ? : Kamoulox/7 Votre avis sur le forum : Je suis chez moi. <3 Code : Le code c’est pas « Le code » ? Autre chose à rajouter ? : Rifougnons !
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Colin Taylor
AdminNombre de messages : 841 Age : 34 Localisation : là, ailleurs et encore là... Emploi/loisirs : Erre dans San Francisco dans tous ses TP xD Humeur : joyeuse Date d'inscription : 11/12/2008
Vos liens : Votre personnage: | Sujet: Re: eddie × a thousand summers Lun 1 Fév - 8:25 | |
| EDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE !!!! Ok, je suis pas sur le bon compte pour faire ma fan girl hystérique, mais tant pis. Je suis tellement heureuse et j'ai tellement hâte de le voir en RP et ça me donne encore plus envie de prendre Alona !!! Au fait, je t'ai déjà ajoutée à ton groupe, fais en bon usage =D Bisous |
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